Le film ou le fichier photographique numérique constituent mes matériaux de base. Le tirage ou le livre sont l’objet final, mariage intime de l’image, du papier et de l’encre, soigneusement choisis.
Un même fichier peut-être interprété dans différents projets/séries et éditions.
L’interprétation est faite sans dénaturation de l’information : rien n’est enlevé ou ajouté, mais toute la palette des rendus possibles dans le cadre de la photographie peut être utilisé. Je réalise du maquillage, pas de la chirurgie esthétique. J’utilise le pinceau, pas le bistouri.
Je réalise moi-même les tirages dans mon atelier privé avec des imprimantes jet d’encre de marque Epson. Elles sont chargées avec des encres Epson K3HDR (pilotes Epson ou ImagePrint) ou des encres Piezography, rendu « Carbon », « Selenium »… (pilote QuadToneRIP).
Les papiers d’art utilisés sont choisis en fonction des sujets, de leur rendu et de leur durabilité (sans azurants optiques – sauf exception – et en se référant à des tests indépendants). A ce jour il s’agit, pour les tirages d’exposition ou de collection, des papiers :
– Canson Infinity Rag Photographique 310 g.
– Hahnemühle Museum Etching 350 g.
– JonCone Studio Paper Type 5 290 g.
– Hahnemühle Photo Rag Baryta 315 g.
– Hahnemühle FineArt Baryta Satin 300 g.
Les tirages de collection (signés, numérotés) présentent – sauf exception – une marge blanche.
Les photos de ce site sont – sauf exception – des reproductions des tirages ou des épreuves réalisées.